Le procès de Drakunn
dim. 15 août 2010, 21:39
La salle est bondée. La chaleurs des corps entremêlés (wtf ?) rend l'ambiance lourde et tendue. Enfin, une voix vient percer le silence inquiétant :
Le juge : M. Le procureur de la république, c'est à vous.
Le procureur : Sinstralien, Sinstralienne. J'ai ici devant moi l'homme qui a faillit nous dérober notre bien le plus précieux
(des exclamations, des oh, des ah, des hiiiii, des meuuh)
Le juge : M. L'accusé, déclinez vos sexe, race, noms, level, profession.
Drakunn : Masculin Tauren Drakunn 80 Ingénieur Enchanteur... Enchanté (un seul rire dans le tribunal et encore c'est beaucoup donner)
Le procureur : Les preuves le montre, Drakunn. Vous êtes accusé d'avoir tenté de kidnapper Dieu lui même avec votre complice, Eléïs, hélas morte lors de votre ignoble effraction, afin d'en tirer une rançon de 1 000 000 de po plus une monture lapin de +800% vitesse pour vous échapper. Les preuves sont accablantes. Plaidez vous coupable, ou non coupable ?
Drakunn : Coupable, votre honneur.
Le procureur : Voyez cet espèce de
-Le juge : Il suffit ! Vous reconnaissez les faits, drakunn, Racontez les nous Exactement.
Drakunn :
Et bien voilà.
Fraichement sortie de la prison de gadgetzan ou les détraqueurs dimensionnels nous gardaient farouchement, j'ai retrouvé ma complice de toujours, Eléïs. Certe, je venais d'être condamné à 8 ans de réclusion dans la grotte de baie du butin. Mais vous savez, quand on a ça dans le sang, on n'en est pas responsable, votre honneur.
Nous étions las des petits échecs et vol à main armé.
Nous avons décidé de frapper un grand coup, le plus grand coup de l'histoire du crime : kidnapper dieu.
C'était audacieux, certe, mais le jeu en valait la chandelle.
C'est ainsi que nous nous retrouvâmes dans notre repaire démoniaque, à échaffauder des plans, et à nous détendre / amuser un tantinet, il faut le reconnaître.
Une fois nos plans mis au point et nos guibolles échauffés, nous décidames de passer à l'acte.
Nous allions alors, cote à cote, dans notre costume de la team Moquette (du nom de la substance par laquelle nous remplacions le tabac des gardes pour diminuer leurs rayon d'aggro et leur vitesse d'attaque) , assomer la gardienne du temple de dieu. la vieille croyance fausse selon laquelle dieu peut se defendre seul faisait que une seule garde, le pensions nous, garderait la salle.
Le combat fut épique, mais nous en triomphâmes.
C'est alors que le drame survenu...
Un déchirement dans ma vie.
Un vigile muni d'un sniper et d'un funeste rottweiler tira une puissante balle d'argent, directement dans le coeur de ma coéquipière.
Déchiré par la rage et la tristesse, je démembrais l'auteur de ce meurtre ainsi que son fidèle compagnon.
Il ne restait qu'une chose à faire, celle que ma complice de toujours aurait voulu que je fasse : finir notre travail.
Je rentrais dans la salle, désactivais le système d'alarme, jouait à James bond et... ça y est. J'y étais.
Le dieu Zhao se tenait devant moi :
Je me rapprochais trop, ce pourquoi il rentra ses belles oreilles grandes commes les larges ailes d'un dragon et referma son oeil, de façon à prendre l'apparence d'une banale (wtf ?) Pyramide parfaite et étincelante, baignant dans son plasma divin.
Je voulais m'en saisir mais les Jedis de l'espace (wtf ?) m'avait déjà rattrapé, alerté par le coup de feu qui tua Eléïs.
C'est ainsi que je finis ici, votre honneur.
M. le procureur : Il ment ! Il n'a jamais atteint le dieu zhao ! celui ci ne se retracte pas !
Drakunn : Et pourtant j'ai une preuve, cette photo ou tout les visages et textes grossiers ont été grossierement fouté.
Regardez, votre honneur.
Le juge se penche et regarde la photo.
Le juge : Il dit vrai. Il faut croire que comme toujours, Le dieu Zhao se retracte sur le sujet délicat. Néanmoins... Accusé Drakunn, je vous condamne, pour le pire des crime, à la PIRE de toute les punitions...
Drakunn : NOOOOOOOOOOOOOOOOOOON
Le juge : Je vous condamne à être transformé à vie en Gaylfe Chasseur et vous serez renommé Megalegolas !
Drakunn et sa famille : NOOOOOOOOOOOON Nous ferons appel !
Le procureur ricane
La foule crie "ne le lynchons pas, sa punition est pire, ne le lynchons pas, sa punition est pire".
Ainsi s'effondra en une journée la vie de Drakunn et Eleis Lapin, Gentlemens cambrioleurs.