Périple en kalimdor.
jeu. 31 déc. 2009, 17:21
Désolace, terre oubliée par les Dieux et dédaignée par la vie.
Le vent sec, les sols arides, tout ici est hostile. Ce monde monochrome contenant toute les variations de gris imaginables, qui refuse d'aborder les autres couleurs.
C'est dans ce paysage déprimant que me revins les paroles du vieux gnome :
- T'as compris le poilu ?? Bon, alors dépêches-toi d'les chercher ces foutus fioles de néant, on a pas encore inventer de griffons pour les bouts des mondes hein !
Épuisant... J'ai vraiment un besoin urgent de détente : et si je lançais une salve dans un groupe de monstre ?
Bonne idée, mais cet endroit est totalement désert :
Rien, aussi mort que mon arrière grand-père.
Je me décide à prendre de la hauteur, pour voir si je n'apercevrais pas une âme qui vive.
Ah, c'est mieux comme ça !
Mais toujours rien à l'horizon.
Pas un monstre à éradiqué, bon continuons.
Je m'avance plus profondément encore.
Hm, un plateau, vaste :
Beaucoup trop vaste, je ne me souvient pas de l'avoir déjà vu... Promis, je limite la bière dès demain.
En attendant je continue , chevauchant rapidement mon buc puant ( jolie rime nan ? ) vers le sud, espérant tombé sur un lapin égaré ou une chose plus grosse.
La chose plus grosse j'ai fini par la trouver ! :
C'est grand, mais il est hors de question que je saute, ça c'est le boulot de mon loup.
Le plateau s'étire toujours à perte du vue, ou presque .
Je remarque une petite allée avec des ruines sur ma droite :
Toujours la même ambiance minimaliste, mais je m'y engage quand même, au point où j'en suis de toute façon.
Oh un arbre, dommage qu'il vole.
Oh Hache tripe dommage qu'il.... hein ?
Hein ? Promis j'arrête la bière... toute suite.
Je vois des trucs bouger la haut, signe de quelque chose de vivant ? ce serait trop beau.
Des ogres ! Par le gros Bourtebières ! mais... ils sont si haut ? Je dois absolument trouver un moyen de moyen de monter, revenons sur nos pas...
Hop, c'est repartit pour le désert, à croire que les zones se sont donnés le mots :
C'est un peu plus bossu par contre.
J'ai enfin gagné un peu de hauteur !
Mais je n'ai plus hache tripe en vue, néanmoins je continue.
Le paysage est une alternance de terrais vides et de végétations luxuriantes, évidement il y a pas de juste milieu se ne serait pas drôle.
Je sens que je vais abandonner... pas un seul truc tuable à part des ogres volants !
Bref ces terrains... Ah ! un troue, évidement ça m'étonnais que ce n'étais pas encore arrivé.
Par miracle ( et quelques prières troll ) je suis encore debout, mais où suis-je ?
Un campement ?
Oh, des....
Campement de gnoll trouvé, éradications terminées.
Mission dé-foulage à la salve réussite.
Tiens mais c'est Silithus derrière ?
Mais quel distance ai-je réellement parcourue ?
Le vent sec, les sols arides, tout ici est hostile. Ce monde monochrome contenant toute les variations de gris imaginables, qui refuse d'aborder les autres couleurs.
C'est dans ce paysage déprimant que me revins les paroles du vieux gnome :
- T'as compris le poilu ?? Bon, alors dépêches-toi d'les chercher ces foutus fioles de néant, on a pas encore inventer de griffons pour les bouts des mondes hein !
Épuisant... J'ai vraiment un besoin urgent de détente : et si je lançais une salve dans un groupe de monstre ?
Bonne idée, mais cet endroit est totalement désert :
Rien, aussi mort que mon arrière grand-père.
Je me décide à prendre de la hauteur, pour voir si je n'apercevrais pas une âme qui vive.
Ah, c'est mieux comme ça !
Mais toujours rien à l'horizon.
Pas un monstre à éradiqué, bon continuons.
Je m'avance plus profondément encore.
Hm, un plateau, vaste :
Beaucoup trop vaste, je ne me souvient pas de l'avoir déjà vu... Promis, je limite la bière dès demain.
En attendant je continue , chevauchant rapidement mon buc puant ( jolie rime nan ? ) vers le sud, espérant tombé sur un lapin égaré ou une chose plus grosse.
La chose plus grosse j'ai fini par la trouver ! :
C'est grand, mais il est hors de question que je saute, ça c'est le boulot de mon loup.
Le plateau s'étire toujours à perte du vue, ou presque .
Je remarque une petite allée avec des ruines sur ma droite :
Toujours la même ambiance minimaliste, mais je m'y engage quand même, au point où j'en suis de toute façon.
Oh un arbre, dommage qu'il vole.
Oh Hache tripe dommage qu'il.... hein ?
Hein ? Promis j'arrête la bière... toute suite.
Je vois des trucs bouger la haut, signe de quelque chose de vivant ? ce serait trop beau.
Des ogres ! Par le gros Bourtebières ! mais... ils sont si haut ? Je dois absolument trouver un moyen de moyen de monter, revenons sur nos pas...
Hop, c'est repartit pour le désert, à croire que les zones se sont donnés le mots :
C'est un peu plus bossu par contre.
J'ai enfin gagné un peu de hauteur !
Mais je n'ai plus hache tripe en vue, néanmoins je continue.
Le paysage est une alternance de terrais vides et de végétations luxuriantes, évidement il y a pas de juste milieu se ne serait pas drôle.
Je sens que je vais abandonner... pas un seul truc tuable à part des ogres volants !
Bref ces terrains... Ah ! un troue, évidement ça m'étonnais que ce n'étais pas encore arrivé.
Par miracle ( et quelques prières troll ) je suis encore debout, mais où suis-je ?
Un campement ?
Oh, des....
Campement de gnoll trouvé, éradications terminées.
Mission dé-foulage à la salve réussite.
Tiens mais c'est Silithus derrière ?
Mais quel distance ai-je réellement parcourue ?