Le coffre perdu dans le temps.
ven. 13 août 2010, 08:53
Hélas, les serrures du temps jadis, me sont totalement inconnues, et ce "coffre verrouillée ne cédait pas à mes tentatives.
Désolée, j'avouais à Berlingot que j'avais échoué.
Le temps passait, et je n'oubliais pas cette mission, convaincue qu'un jour, je l'ouvrirais. Entre temps, les quêtes du Norfendre et ses donjons m'ont bien occupés, et m'ont aussi forgés, de nouvelles serrures s'offrait à moi, et aucunne ne me résistait. Je décidais d'y retourner...
Ce coffre était différent des autres, plus travaillé, précieux, et je percevait une aura puissante de magie, à tel point que ce petit coffre, et pourtant très lourd ! Volait tranquillement au dessus du bateau.
La serrure me résistait encore. C'est alors que je me souvins que, le manoir Ravenholdt ne se trouvait pas bien loin, et que mes compagnons voleurs qui s'y trouvaient, pourraient m'aider à comprendre le secret des vieilles serrures.
Je laissais là mon coffre, et partait à leur rencontre.
Sur le chemin, une tombe abandonnée. Je me penchais pour y lire les inscriptions, mais ma mémoire semblait se brouiller, comme s'il était impossible de tout savoir sur le passé. Malgré tout, un vent soufflais et menait à mes oreilles ces mauvres mots :
" - Tu sais garder un secret, Ed ?! Harr, les morts ne parlent pas !"
De quel secret pouvait parler, au loin, cette voix de pirate ? Je laissait de coté ces mots, et retournait à mon but. Le manoir.
J'étais surprise de voir que le chemin que je prenait habituellement n'existait pas, je contournais alors par les montagnes pour enfin le trouver : Le manoir de Ravenhodlt.
Impatiente de me présenter, j'entrais rapidement. Ma déception était immense. Personne ! Le manoir était totalement désert...
La décoration, pourtant, n'avait pas changée. C'était comme si, prévenus de mon arrivée, ils avaient fuit le manoir aussitôt.
Pour que je ne sache pas...
La cave contenait toute sorte d'accessoire et d'ingrédients pour la conception des poisons, je savais de métier, qu'aucune de ces expérience ne devaient rester sans surveillance... Je choisissais de ne pas m'en approcher, et de visiter l'étage et les balcons.
C'est là haut que je vis deux petites poupées, c'était comme si elles étaient là pour moi, la seule chose que je pourrait conserver du passé. Le lui arracher.
Je regardait une dernière fois ce manoir vide, et reprenait mon chemin, sans autre réponse queces deux petites poupées.
*Suite inc.*