*Eléïs grimpe sur une poutre, et du haut de celle-ci commence un poème.*
Ô, grands essplorateurs, qui traversez montagnes et rivières,
N'avez vous donc pas peur, de rencontrer un jour la colère,
Du grand Zhao qui nous surveille, comme un Dieu terrible,
Enchanté de vous voir gambander sur ses traces invisibles.
Jours et journée, rien ne vous ratrappe, et vous marchez en liberté,
En sécurité et surtout indépendant du monde qui se termine,
Un jour, vous regarderez le monde avec un sentiment d'insécurité,
Ne pensez vous donc pas, qu'il y a sous vous pieds une énigme ?
Êtes vous seulement certains d'exister et de choisir votre chemin.
Quand vous vous sentez seuls et pleins de vie, l'êtes vous seulement ?
Une vie n'est qu'un mensonge tout comme le soufle du printemps.
Arrivé à sa fin, voila que vous vous mettez à espérer au lendemain.
N'y a t il pas dans vos coeurs comme un élan qui n'est pas de vous ?
Dans vos voyages, peut être, quelque chose de plus fort vous détiens.
?
*Eléïs descend de sa poutre en marmonant quelque chose comme : "J'ai ballot"*