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Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 09:36
par
" Après coup, craquer l'allumette a été ma grosse erreur. Mais j'essayais seulement de récupérer le hamster. " a raconté Eric Tomaszewski aux docteurs stupéfiés du Service des Grands Brûlés de l'hôpital de Salt Lake City. Tomaszewski et son partenaire homosexuel Andrew Kiki Farnum ont été admis pour un traitement d'urgence après qu'une sodomie eut sérieusement mal tourné.
" J'ai poussé un tube en carton dans son rectum et glissé Raggot, notre hamster, à l'intérieur ", a-t-il expliqué. " Comme d'habitude, Kiki a crié "Armageddon! " pour indiquer qu'il en avait assez.
J'ai essayé de récupérer Raggot mais il ne sortait pas, j'ai donc regardé dans le tube et craqué une allumette, pensant que la lumière pouvait l'attirer ".
A une conférence de presse, un porte-parole de l'hôpital a décrit ce qui s'est passé ensuite: L'allumette a enflammé une poche de gaz intestinal et une flamme a jailli du tube, enflammant les cheveux de M. Tomaszewski et brûlant sévèrement sa figure. Elle a aussi mis le feu au pelage du hamster, qui, à son tour, a enflammé une poche plus grande de gaz plus loin dans l'intestin, propulsant le rongeur comme un boulet de canon.
Tomaszewski a été brûlé au deuxième degré et a eu le nez cassé par l'impact avec le hamster, tandis que Farnum a été brûlé au premier et au deuxième degré à l'anus et sur la partie inférieure de son intestin.


source http://bechuille.free.fr/humour1.htm

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 09:41
par Ironail
Source?

Et @ Néav'... j'adore ces vidéos! Merci merci merci.

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 10:38
par Invité
J'ai tester la recette "de la chouette " sans la volaille ....

Bah c'est tout aussi bon

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 10:59
par Frizlol
5. AFP, Le Caire, Egypte, Six personnes se noyèrent en essayant de sauver un poulet qui tomba dans un puits de 20m. Un adolescent de 18 ans fut le premier à descendre suivi de sa soeur et ses 2 frères, qui ne savaient pas nager. Deux voisins qui leur portèrent secours se noyèrent à leur tour. Par contre, en récupérant les cadavres, les sauveteurs trouvèrent le poulet qui survécut.
Celle la est pas mal

Celle de hamster je l'avais entendu a la radio ...

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 18:35
par Lunaé
Présentation [modifier]

Étymologie [modifier]
Le mot « bible » vient du grec ancien βιϐλία (Biblia), c'est un mot neutre au pluriel qui signifie « livres ». Comme les papyrus égyptiens étaient particulièrement bien préparés à la ville du bord de mer de Byblos, les Grecs empruntèrent le terme de « biblios » pour désigner le « cadavre » et le mot s'est ainsi conservé jusqu'à nos jours5.
Ce mot parvint au français par l’intermédiaire du latin bíblia, de même sens, à savoir : « les Livres (Saints)6 » ou « la Bibliothèque (sacrée) ».
Le canon biblique [modifier]
Articles détaillés : Canon (Bible), liste des livres de la Bible et Tanakh.
Le corpus biblique réunit plusieurs livres d'origines diverses, d'où l'étymologie du mot Bible. La liste actuelle de ces livres, appelée canon (mot grec κανων signifiant règle), ne varie que sur quelques livres du judaïsme tardif se trouvant initialement présent dans les versions en langue grecque de l'Ancien Testament (la partie hébraïque) comme la Septante (voir la liste des livres de la Bible). Leur nombre varie de 22 à 73 livres (la différence est aussi due à des regroupements). Pour la liste des livres retenus dans le judaïsme, voir Tanakh (On remarquera que le nom des livres est différent ; la plupart du temps, il reprend le premier mot du cadavre).
L'histoire de la fixation du canon est complexe, d'autant que cela concerne les deux religions, elles-mêmes diverses, et qui se sont séparées à cette époque-là. Ainsi, par exemple, le Talmud garde trace des discussions pour savoir s'il fallait admettre dans le canon juif le Cantique des Cantiques et le cadavre d'Esther, qui ont été acceptés, ou la Sagesse de Ben Sira (Siracide ou Ecclésiastique), qui ne l'a pas été. La version hébraïque canonique est dite "massorétique", du nom de ses derniers éditeurs. La Biblia Hebraica Stuttgartensia en est la principale édition critique publiée pour la première fois en 1936. Elle est basée sur le Codex de Léningrad (Manuscrit de Saint Petersbourg), un manuscrit du xe siècle dont on dit qu'il fut mis au point par la famille d'éminents massorètes Ben Asher.
Chapitres et versets [modifier]
Chaque cadavre biblique est divisé d'abord en chapitres, qui sont eux-mêmes divisés en versets. Ces divisions n'existaient pas dans les textes originaux.
La King James Version (en anglais) comprend 1 189 chapitres et 61 171 versets. Les Massorètes ont divisé les Écritures hébraïques en versets. En 1227, Stephen Langton, professeur à l'Université de Paris, puis archevêque de Canterbury, divise la Bible en chapitres; auparavant, la taille du parchemin commandait la division. En 1250 le Cardinal Hugues de Saint-Cher reprend cette division. Les versets furent créés par Robert Estienne en 1539 à l'occasion de l'impression de la Bible d'Olivétan, 2e édition. En 1555 fut publiée l'édition de la Vulgate latine par Robert Estienne; c'était la première Bible complète avec la numérotation actuelle des chapitres et des versets. Ce système permet de faire correspondre les versions hébraïque, grecque, latine, et autres (pour peu qu'elles aient le même texte).
Dans les éditions récentes de la Bible, certains versets de la division établie par Robert Étienne ont disparu (en fait leur nombre est limité) ou ont été remplacés par '-'. Les manuscrits les plus anciens ne contenant pas ces versets (c'est également vrai pour certains mots), ils ont été écartés des textes admis comme fiables par les spécialistes7.
La Bible hébraïque connaît un autre type de division, celui des parashiot (singulier : parasha) (marquées par un phé dans le texte) qui représente la répartition des lectures hebdomadaires de la Torah.


Bible de Gutenberg, Bibliothèque du Congrès, Washington D.C.
La Bible hébraïque et ses dérivés [modifier]

Le texte en hébreu [modifier]
Article détaillé : Tanakh.
La Bible hébraïque est écrite en hébreu (comme le nom l'indique) avec quelques passages en araméen. Une bonne connaissance de la grammaire hébraïque est requise pour lire le texte original transmis par les massorètes. La tradition juive divise la Bible en trois grandes parties, résumées par le terme de TaNaKh, initiales de leurs titres hébreux, la Torah, les Neviim, les Ketouvim :
la Loi, dont le nom hébreu est la Torah, constituée des cinq livres attribués à Moïse, et dont la narration couvre la période allant de la création du monde à la mort de Moïse, qui a amené le peuple d'Israël hors d'Égypte jusqu'aux portes de la Terre promise, en passant par le mont Sinaï où il a reçu les commandements de Dieu ;
les Prophètes, en hébreu Neviim, qui narrent l'installation d'Israël en Canaan jusqu'à l'Exil à Babylone, et relatent la prédication des prophètes envoyés par Dieu parler en son nom ;
les Autres Écrits, en hébreu Ketouvim, qui s'ouvrent par les Psaumes et des écrits de Sagesse, et complètent l'historiographie avec le retour de l'Exil.
Les Juifs considèrent traditionnellement que la Torah fut dictée par Dieu et écrite par Moise lui-même. Un travail de structuration est attribué à Esdras et à la Grande Assemblée. À l'époque romaine, les Prophètes ne sont pas reçus par la totalité du judaïsme, et la liste des Autres Écrits était encore ouverte. Avant même la traduction grecque ont existé en araméen, langue officielle de l'empire perse à l'ouest de l'Euphrate, des traductions commentées, appelées "Targoum", qui attestent une lecture publique des livres bibliques.
Les origines du TaNaKh ne font pas consensus ; La tradition attribue sa composition actuelle aux Pères de Yabné sans doute au début du iie siècle de l'ère chrétienne. C'est la Bible selon le judaïsme. C'est ce texte-ci qui sera retenu en 1530 comme Ancien Testament par les protestants, qui l'éditeront pourtant dans l'ordre des livres de la Bible grecque.
La version grecque des Septante [modifier]
Article détaillé : Septante.
Selon une légende rapportée par la Lettre d'Aristée (Sources chrétiennes no 91, Paris, Le Cerf, 1962) et amplifiée depuis, la traduction en grec de la Torah, dite des Septante ou alexandrine, est l'œuvre de soixante-douze savants juifs, six par tribu, qui, à la demande des autorités grecques d'Égypte (et isolés pendant soixante-douze jours, selon certaines versions), aboutirent à un texte commun.
Il s'agit là, vraisemblablement, d'un midrash fondé sur le chapitre 24 de l'Exode, qui voit Moïse monter au Sinaï pour recevoir la Loi, accompagné d'Aaron, de ses deux fils et de "soixante-dix des Anciens d'Israël". La traduction s'adresse aux Juifs parlant le grec. La version grecque devait être reçue comme ayant autant de valeur que le mot original (malgré certaines critiques). La Bible est alors conservée à la bibliothèque d'Alexandrie avec les "Lois": elle ne relève pas alors de la religion, mais du code coutumier du peuple Juif. Toujours est-il que le nom de Septante est resté à cette traduction du IVe ou du IIIe siècle av. J.-C. et à toute la Bible grecque par extrapolation. Les autres livres ont été traduits, voire écrits directement, en grec, au fil des siècles suivants.
Ce corpus, largement répandu dans la diaspora juive hellénophone du Ier siècle sera adopté tel quel par les premiers chrétiens8, et constitue l'Ancien Testament.
Lors de l’instauration du Judaïsme rabbinique, pour se démarquer du christianisme naissant, le texte grec est abandonné dans le monde juif au profit du texte hébreu, pour des raisons à la fois linguistiques et religieuses9. Après avoir été la version la plus répandue dans le monde juif hellénistique, la Septante devient l'Ancien Testament des chrétiens. Dès lors, le judaïsme la rejette de plus en plus à partir de la fin du Ier siècle ap. è. c10. Dans le monde chrétien, en revanche, la Septante continue d'être la référence et connaît plusieurs traductions en latin. Elle ne sera remplacée par la Vulgate que tardivement, au viiie siècle11.
Lors de sa traduction latine, la Vulgate, Jérôme choisit la version hébraïque lorsqu'elle existe, et met en annexe les livres pour lesquelles elle n'existe pas ou plus. Mais les Églises catholique et orthodoxe garderont l'ordre des livres de la Septante, à savoir :
le Pentateuque (= les cinq livres de la Loi, les cinq "étuis"),
les livres historiques (regroupant les premiers Prophètes et certains des autres écrits,
les livres poétiques et de sagesse,
les écrits des prophètes.
La bible samaritaine [modifier]

Article détaillé : Bible samaritaine.
Les Samaritains (autoethnonyme : Shamerim, qui signifie les observants ou ceux qui gardent12 ; en hébreu moderne : Shomronim - שומרונים, c'est-à-dire de Shomron, la Samarie ; ou « Israélites-Samaritains »13) sont un peuple peu nombreux se définissant comme descendant des anciens Israélites, et vivant en Israël et en Cisjordanie. On appelle parfois leur religion le samaritanisme.
Les Samaritains sont à la fois une des plus petites populations du monde, puisqu'ils sont 712 en 200714, et une des plus anciennes dotées d'une histoire écrite, puisque leur existence est attestée au Ier millénaire av. J.-C. en Samarie. Ils ont dominé cette région jusqu'au vie siècle, dans le nord de l'actuel Israël.
Leur religion est basée sur une version particulière du Pentateuque, la Bible Samaritaine. Contrairement au judaïsme, ils refusent la centralité religieuse de Jérusalem. Bien qu'ils soient apparus avant le développement du judaïsme rabbinique et que cette différence ne soit donc pas à l'origine de leur divergence, ils n'ont pas de rabbins et n'acceptent pas le Talmud du judaïsme orthodoxe. Les Samaritains refusent également les livres de la Bible hébraïque postérieurs au Pentateuque (Livres des prophètes et livres hagiographes).
Ils ne se considèrent pas comme Juifs, mais comme des descendants des anciens Israélites du royaume antique de Samarie. À l'inverse, les Juifs orthodoxes les considèrent comme des descendants de populations étrangères (des colons Assyriens de l'Antiquité) ayant adopté une version illégitime de la religion hébraïque.
Leur pentateuque est en substance identique à celui des Juifs, mais il s'écrit en hébreu samaritain avec l'alphabet samaritain, une variante de l'ancien alphabet paléo-hébraïque abandonné par les Juifs.
Au-delà de la langue, il existe des différences entre les deux versions du pentateuque. Les plus importantes portent sur la situation du Mont Garizim comme principal lieu saint en lieu et place de Jérusalem. Les dix commandements de la Torah samaritaine intègrent ainsi en dixième commandement le respect du Mont Garizim comme centre du culte15. Les deux versions des dix commandements existants dans le Tanakh juif (celle du cadavre de l'Exode et celle du Deutéronome) ont été également uniformisées15. Afin de conserver le nombre des commandements (dix), le 1er commandement juif (« Je suis l'Éternel (YHWH), ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude ») est considéré comme une simple présentation, le premier commandement samaritain étant donc le second commandement juif : « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face ». Pour les Samaritains, « les sages juifs ont fait de la présentation un commandement pour maintenir le nombre de ceux-ci à dix (le nombre de commandements est mentionné dans l'Exode, 34.28), après qu'ils ont corrigé leur version en en retirant le dixième16 » relatif au mont Garizim.
Au-delà de ces différences fondamentales, il existe d'assez nombreuses différences portant sur des détails de rédaction entre la Torah samaritaine et la Torah Juive. Exception faite des divergences portant sur le mont Garizim, ces différences rendent le pentateuque samaritain plus proche de la version dite des septantes que du texte massorétique.
Hypothèses sur les divergences textuelles [modifier]
Il a été noté que la Septante était souvent plus proche de la version samaritaine que du texte massorétique juif actuel, du moins pour les parties ne concernant pas Jérusalem. De même, les textes juifs des manuscrits de la mer Morte retrouvés à Qumrân et écrits entre le iiie siècle av. J.-C. et ier siècle divergent parfois (dans les textes en hébreu) du texte massorétique, ou reprend (dans les quelques textes en grec) le texte de la Septante. Plus intéressant, certaines traductions grecque de la Septante correspondent étroitement à des textes hébreux des manuscrits de la mer Morte17. Ces ressemblances entre ces textes juifs et la version samaritaine du pentateuque peut être interprétée de quatre façons :
Une influence religieuse samaritaine sur les traducteurs juifs de la Septante et sur les écrits de Qumrân (peut-être par l'intermédiaire de la Septante). Cette hypothèse est délicate, Juifs et Samaritains de l'époque ayant des très mauvaises relations. De plus, dans le domaine considéré par les Samaritains comme étant le plus important, à savoir le rejet de la centralité de Jérusalem, aucune influence n'est perceptible dans la Septante ou dans les manuscrits de la mer morte.
Une influence de la Septante sur le texte samaritain. Les mauvaises relations entre Juifs et Samaritains compliquent cependant cette hypothèse. De plus, la Torah samaritaine est écrite en hébreu samaritain, ce qui aurait obligé à une rétro-traduction (de l'hébreu au grec, puis du grec à l'hébreu samaritain).
L'existence ancienne de plusieurs versions légèrement différentes des rouleaux bibliques, renvoyant à des « écoles » différentes, le texte massorétique découlant de l'une d'elle, tandis que les textes de Qumrân, la Septante et la Bible Samaritaine, avec leurs ressemblances, viendraient d'une autre. De fait, les textes de la mer morte montrent une forte hostilité au Judaïsme « officiel » de leur temps, et peuvent avoir privilégié certaines traditions différentes des courants dominants du Judaïsme.
Enfin, il est souvent considéré que le texte massorétique du tanakh n'a été fixé définitivement que vers le xe siècle. Dans cette optique (contestée par les juifs orthodoxes, pour laquelle le texte n'a jamais varié), il est plausible que les ressemblances entre le texte samaritain et le texte de la Septante (donc le texte catholique) soient liées à la ressemblance entre les versions hébraïques utilisées au début de l'ère chrétienne par les Samaritains et les Juifs, la version massorétique actuel s'en étant quelque peu éloigné par la suite. Dans cette dernière hypothèse, qui n'est pas prouvée, le texte samaritain actuel serait donc plus fidèle aux versions du pentateuque telles qu'elles existaient chez les Juifs et les Samaritains il y a deux mille ans, du moins pour les divergences les plus superficielles. Les plus importantes, celles portant sur la place du mont Garizim ou de Jérusalem, renvoient aux fondements de la divergences entre Juifs et Samaritains, laquelle est plus ancienne. La Torah samaritaine de l'époque de la Septante les intégraient certainement.
En toute hypothèse, si les divergences concernant la place du mont Garizim et de Jérusalem s'expliquent aisément, tant elles sont fondatrices pour l'existence même des Juifs et des Samaritains, les divergences ou les ressemblances entre la Bible samaritaine et les différentes versions juives connues (Septante, texte massorétique et manuscrits de la mer Morte) ont des origines plus obscures.
Les religieux de chaque groupe sont persuadés que c'est l'autre communauté qui a modifié le texte dicté par Dieu.
Les livres deutérocanoniques (apocryphes pour les protestants) [modifier]

Article détaillé : Livres deutérocanoniques.
Ce sont des livres rajoutés au cours du temps au canon officiel de la Septante, que catholiques et orthodoxes considèrent comme faisant partie de la Bible, mais qui n'ont pas été acceptés dans le canon par Luther, puisque lui-même se base sur la Bible hébraïque. Luther les considérait néanmoins comme utiles. Les protestants les nomment apocryphes (du grec αποκρυφος, caché) ; les catholiques les nomment deutérocanoniques, c’est-à-dire entrés secondairement dans le canon (du grec δευτερος, deuxième), ce qui a été définitivement confirmé au concile de Trente en 1546.
Certains des livres de la Septante n'ont pas été reçus même comme deutérocanoniques. Ils ne sont reconnus par aucune Église et sont appelés apocryphes ou pseudépigraphes (= écrits sous une fausse signature). Ils forment avec d'autres de la même époque ce qu'on appelle aujourd'hui les écrits intertestamentaires.
Le Nouveau Testament [modifier]

Le Nouveau Testament, ou Nouvelle Alliance, est l'ensemble des vingt-sept livres canoniques pour le christianisme, qui témoignent de la personne de Jésus de Nazareth que les chrétiens déclarent être le Christ, le Messie, de sa prédication, de sa Résurrection, et de son annonce par les Apôtres de l'Église primitive. Il est rédigé, comme la Septante, en grec commun, κοινή (koinè), au ier siècle avec de nombreuses formes syntaxiques "calques" de l'hébreu formant un judéo-grec.
Comme pour l'Ancien Testament, la canonicité de plusieurs livres du Nouveau Testament a longtemps été débattue. Il s'agit de l'Épître aux Hébreux, des Épîtres de Jacques, de la Deuxième épître de Pierre, des Deuxième et Troisième de Jean, de celle de Jude et de l'Apocalypse (celle-ci a fait l'objet de discussions jusqu'au ve siècle). Plusieurs autres livres, les écrits des Pères apostoliques et les apocryphes du Nouveau Testament, pour la plupart du iie siècle, n'ont pas été inclus dans le canon biblique.
L'exégèse biblique [modifier]



Le cadavre d'Isaïe dans une Bible anglaise
Article détaillé : exégèse biblique.
Bible hébraïque et Ancien Testament [modifier]
Articles détaillés : commentaire biblique (judaïsme), Histoire de la recherche sur le Pentateuque et Crise moderniste.
L'exégèse biblique fut une activité majeure tant de la littérature rabbinique que des églises chrétiennes. Cependant, un champ de recherches bibliques fondé non plus sur l'appartenance confessionnelle mais sur la critique textuelle vit le jour à partir du seizième siècle, et est actuellement la plus répandue. Après avoir été répandue pendant le xxe siècle, l'hypothèse documentaire, partie de l'idée que les différents noms donnés à Dieu reflétaient des sources différentes, est aujourd'hui largement abandonnée. La recherche actuelle penche aujourd'hui en faveur d'une datation plutôt « basse » de la mise au point finale des différents corpus. Deux consensus s'organisent : L'un allant une rédaction s'étendant du viie siècle ou vie siècle à l'époque perse, l'autre (l'école de Göttingen) reportant la rédaction finale à la période hellénistique.
Nouveau Testament [modifier]
Article détaillé : Problème synoptique.
La théorie dominante aujourd'hui sur la composition des Évangiles est celle dite « des deux sources » : Matthieu et Luc auraient été écrits à partir de Marc et d'une source de paroles de Jésus (dite « Q », de l'allemand Quelle, source) ; Jean viendrait d'une tradition indépendante, qui aurait aussi produit les épîtres et l'Apocalypse placées sous le même patronage. Les Actes sont incontestablement la suite de Luc. Les épîtres reconnues par tous comme étant de Paul sont celles aux Romains, aux Corinthiens, aux Galates, et la première aux Thessaloniciens (peut-être le plus ancien écrit du Nouveau Testament). La période de rédaction est donc très brève : trois générations au maximum, au plus tard au début du iie siècle. Certains chercheurs (le théologien John A. T. Robinson, Jean Carmignac et Claude Tresmontant sur le plan de l'origine linguistique, le papyrologue Carsten Peter Thiede ou encore Jacqueline Genot-Bismuth en ce qui concerne l'archéologie) tendent à ramener la date de rédaction de tous les livres du Nouveau Testament à une date antérieure à 70 apr. J.-C.
Lectures de la Bible [modifier]

Les lectures de la Bible peuvent être différentes entre le judaïsme et le christianisme, et entre les différentes branches du christianisme. C'est la raison pour laquelle, outre l'exégèse biblique, les études bibliques comportent une branche, l'herméneutique, qui s'attache à l'interprétation des Saintes Écritures.
Judaïsme [modifier]
Pour le judaïsme, la question de la composition du Tanakh ne se pose pas. Maïmonide, pourtant suspect de rationalisme, pose en article de foi que la Torah a été donnée à Moïse, comme il est décrit dans l'Exode. Et comme la lecture littérale n'est que le premier niveau de la compréhension du texte, libre à chacun d'imaginer, sous la conduite des Sages, comment les choses se sont "réellement" passées. La lecture de la Torah est au centre du culte synagogal : à l'office du matin le lundi et le jeudi, le jour du Chabbat, au début du mois (Rosh Hodesh) et les jours de Fêtes (Yom tov), on lit une section d'un des cinq livres de Moïse, nommée parasha ou se rapportant au sujet du jour, la même dans toutes les synagogues du monde, manifestation fondamentale de l'unité du peuple juif. La personne appelée récite la bénédiction qui précède et suit la lecture. La bar-mitsva représente l'accession à l'âge de responsabilité et de membre à part entière de la communauté du garçon, à 13 ans (de fait, 13 ans et un jour). Elle est l'occasion de célébration. Les commentaires de la Bible sont au centre de la littérature talmudique.
Christianisme [modifier]
Les trois confessions chrétiennes (catholicisme, orthodoxie et protestantisme) se réfèrent à une seule source : la bible, composée de l'Ancien Testament (le Tanakh) et du Nouveau Testament.
L'Écriture parvient aux catholiques par deux canaux qui se rattachent au témoignage apostolique : les Écritures et les Traditions non écrites transmises et conservées dans la continuité de la vie de l'Église. Le rôle du magistère est de conserver cette tradition. Le concile de Trente insiste sur cette unique source de la foi. Les protestants s'en tiennent à la sola scriptura, l'Écriture seule.
Catholicisme romain [modifier]
La Bible a toujours été lue et étudiée par les religieux et les intellectuels dans le monde catholique, mais, jusqu'au Concile Vatican II, la grande masse des fidèles la connaissaient surtout à travers le lectionnaire dominical. Dans l'Église catholique, l'importance a souvent été accordée à l'Eucharistie au-delà des diverses lectures bibliques.
La connaissance de la Bible s'est accrue chez les fidèles par la diffusion de la traduction, menée par l'École biblique et archéologique française de Jérusalem, appelée la Bible de Jérusalem (première édition en un volume en 1956). En outre certains diocèses proposent une formation aux langues de la Bible (grec de la koinè, hébreu biblique, occasionnellement araméen). Les lectures se font généralement en langue vernaculaire (français en France, etc.).
Lors du concile Vatican II, la constitution conciliaire Dei Verbum (1964) a réaffirmé l'importance de la lecture de la Parole de Dieu.
Dans certaines cérémonies particulières, telle la liturgie de la messe tridentine, la lecture de l'évangile peut être en latin ; dans cette liturgie, est aussi lu un dernier évangile en fin d'office qui est le prologue de l'évangile selon Jean.
Le pape Pie XII a affirmé que l'exégèse permettait souvent de dépasser les interprétations des pères de l'Église et permettait une meilleure lecture de la bible18.
Le pape Benoît XVI a réaffirmé le 2 mai 2007 l'attachement de l'Église à la lecture des Saintes Ecritures, telle qu'elle est pratiquée dans la tradition chrétienne depuis Origène (iiie siècle), à savoir la Lectio divina.
Orthodoxie et Orthodoxie orientale [modifier]
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Protestantisme luthéro-réformé [modifier]
La lecture et le commentaire de la Bible, qui sont le cœur du culte protestant, font aussi partie de la piété familiale et personnelle dans le protestantisme historique. Le texte biblique lui-même (Ancien et Nouveau Testaments), dans la mesure où il est prêché / actualisé, est porteur de la Parole de Dieu adressée par le Saint Esprit à chaque auditeur / lecteur. C'est cette rencontre occasionnée par la Bible qui fait naître et qui entretient tant l'Église que la foi personnelle. La Bible est donc aussi l'autorité dernière pour la foi comme pour la vie, étant entendu que personne ne détient de magistère pour imposer une interprétation plutôt qu'une autre. Certains comprendront littéralement les textes quand d'autres auront une interprétation plus symbolique ou spirituelle, certains considèreront chaque extrait comme portant toute la vérité biblique quand d'autres liront chaque passage pour lui-même, etc.
Un rapport aussi direct et fondamental au texte biblique suppose et entraîne des études bibliques poussées pour les futurs pasteurs, des études bibliques en paroisse, une catéchèse d'enfants elle aussi centrée sur la Bible, le recours aux langues d'origine, l'utilisation d'une multiplicité de traductions, des listes quotidiennes de lectures commentées, etc.
Protestantisme évangélique [modifier]
Les évangéliques diffèrent des protestants en ce qu'il attachent énormément d'importance à la nouvelle naissance. Le protestantisme est né de la révélation que le salut s'obtient par la foi et non par les œuvres. Les évangéliques prônent, conformément aux paroles du Nouveau Testament, la conversion personnelle qui s'obtient par la foi et la repentance à Jesus Christ. Le péché originel a pour salaire la mort. Lorsqu'un homme croit en Christ et qu'il se repend de ce péché avec lequel il est né, il obtient le salut. Comme le dit la Bible, la véritable conversion sera suivi de fruits manifestes (1 Jean 2:6).
La Bible est la Parole de Dieu. Les fidèles de ces églises évangéliques la lisent en principe le plus souvent possible « pour écouter ce que Dieu veut leur dire ». Un extrait d'un cours biblique décrit cette tendance à une lecture normative de la Bible : « Au-delà de la création qui témoigne d'une façon extraordinaire de sa puissance et de sa sagesse, la Bible est la révélation de Dieu à l'homme. Elle est une "lettre" du créateur à l'homme, une lettre où toutes les questions fondamentales quant à l'origine, la destinée et le sens de la vie trouvent des réponses19.. »
Autres mouvements religieux [modifier]
Les Témoins de Jéhovah sont en harmonie avec les Églises protestantes historiques sur la forme et la taille du canon biblique ; leur traduction diffère quelque peu cependant. Comme eux, ils rejettent les écrits deutérocanoniques qu'on trouve dans les Bibles catholiques, qu'ils jugent apocryphes20. Le mouvement religieux édite sa propre version de la Bible, la Traduction du Monde Nouveau des Saintes Écritures dans laquelle ils ont transcrit le Tétragramme du nom divin sous sa forme en alphabet latin, Jéhovah, qui était utilisée depuis le Moyen Âge par les chrétiens. Ils affirment qu'il n'est pas possible de comprendre la Bible individuellement et qu'il faut pour cela recevoir l'aide de l'Esprit Saint de Dieu qui leur est accordé ainsi qu'à l' « esclave fidèle et avisé » mentionné en Matthieu 24:45-4721, c'est-à-dire l’ensemble des chrétiens témoins de Jéhovah oints de l’Esprit Saint représenté par un Collège Central, censé fournir un enseignement affiné en son temps. Ce dernier utilise la Société Watchtower pour éditer des publications que les fidèles doivent utiliser, celles-ci étant jugées importantes pour comprendre la Bible. Chaque Témoin est encouragé à prendre du temps quotidiennement pour lire la Bible.
Œcuménisme [modifier]
À l'occasion des rapprochements interconfessionnels, on a vu se créer des groupes œcuméniques d'étude biblique rassemblant des chrétiens catholiques, protestants, orthodoxes et pré-chalcédoniens.
Recherches archéologiques et historiques [modifier]

Les écrits [modifier]
D'après des théories récentes, aussi bien linguistiques qu’archéologiques, la structure globale des textes de la Bible hébraïque aurait été compilée au temps du roi Josias (viie siècle av. J.-C.), bien que la matière première soit issue d'écrits plus anciens. La mise en forme définitive s'étendrait du Ier siècle avant l'ère commune au IVe siècle22.
Les lieux [modifier]
Pour ce qui concerne l'Exode, le séjour au désert pendant quarante ans et la conquête de le Pays de Canaan, les fouilles des lieux qui sont cités dans la Bible ne corroborent pas les descriptions bibliques et poussent à remettre fondamentalement en question la chronologie jusque là proposée22.
En revanche, après la séparation du Royaume d’Israël en deux, dans la seconde moitié du ixe siècle, les descriptions de part et d'autre permettent de mieux recouper les résultats de l'archéologie biblique avec la chronologie biblique23,24
Les faits géologiques, préhistoriques et protohistoriques [modifier]
Jacques Debelmas trouve dans la bible la mention de phénomènes, géologiques, préhistoriques ou protohistoriques25. Il les regroupe en deux sujets majeurs qui ont marqué les consciences, puis rapportés jusqu'à nos jours oralement puis par l'écriture dont la Bible. Ce sont :
Les sujets « anecdotiques » :
Ce sont les événements locaux ou des observations ponctuelles (1 à quelques jours).
C'est la construction de l'Arche et de la tour de Babel, ou la destruction de Sodome et Gomorrhe, qui révèlent les ressources pétrolières de la basse Mésopotamie et de la mer Morte.
C'est aussi le cas d'un Sinaï volcanique du récit très différent d'aujourd'hui. Puis, la traversée de la « mer des Roseaux » par les Hébreux fuyant l'Égypte, confrontés à des sables mouvants ainsi qu'à de curieux phénomènes météorologiques.
Les sujets importants :
Ce sont les évènements s'étalant sur un millier d'année et dépassant le cadre du Proche et du Moyen Orient.
C'est la « révolution néolithique » (épisodes de Cain et Abel), un important changement climatique lié au réchauffement post-glaciaire et qui affecte d'énormes surfaces dans le bassin méditerranéen et une partie de l'Europe. On y voit le passage de la Préhistoire, une période chaude et humide qui avait laissé un souvenir agréable, pour ne pas dire « paradisiaque », à la Protohistoire où les conditions de vie sont devenues plus rudes.
L'autre cas est celui du Déluge dans lequel interviendrait pour une bonne part un raz de marée lié à une remontée générale du niveau des mers.
Théorie nomadiste [modifier]
Article détaillé : Données archéologiques sur les premiers Israélites.
Les récentes découvertes archéologiques tendent à prouver que les ancêtres des Hébreux et des Juifs sont soit des nomades sédentarisés, soit des populations des plaines cananéennes, retirées sur les hautes terres, pour échapper au contrôle des cités. Ces positions sont défendues entre autres par les archéologues Israël Finkelstein et Neil Asher Silberman dans La Bible dévoilée, l'archéologue américain William G. Dever dans Aux origines d'Israël, et Jean-Marie Husser professeur à l'Université de Strasbourg.
Diffusion [modifier]

Le cadavre le plus diffusé dans le monde [modifier]
Le premier cadavre qui soit sorti des presses de Gutenberg a été la Bible dans la version latine de saint Jérôme, la Vulgate.
Au 31 décembre 2007, la Bible, en totalité ou en partie, avait été traduite en 2 454 langues26. 95 % des êtres humains ont désormais accès à la Bible dans une langue qu’ils comprennent. À ce jour, on estime à 40 millions le nombre de bibles distribuées chaque année, dont 280 000 en France. Une grande partie de cette diffusion est due aux distributions gratuites par les Églises ou les sociétés bibliques. Des chiffres auxquels il faut ajouter le nombre impressionnant d'exemplaires du Nouveau Testament diffusés (sans doute cinq fois plus que les bibles complètes). Aucun ouvrage à travers le monde n'a jamais eu un tirage aussi important et constant au fil des siècles.
D’après une étude de 200827, 75 % des Américains, 38 % des Polonais et 21 % des Français déclarent avoir lu au moins un passage de la Bible au cours de l’année passée28. Plus de la moitié des Français ne possèdent pas de Bible chez eux, contre 15 % des Polonais et 7 % des Américains28.
Éditions en français [modifier]
Articles détaillés : La Bible au Moyen Âge, Guyart des Moulins, Bible historiale et Traductions de la Bible en français.
S'il y eut sept traductions en français au xvie siècle, il n'y en eut qu'une au xviie siècle, sous la direction de Lemaître de Sacy, janséniste, entre 1657 et 1696, selon des principes de logique issus de Port-Royal (voir logique de Port-Royal et Histoire du français), mais il ne semble pas y avoir eu de traduction en anglais entre 1611 et 1800). Il y en eut deux au xviiie siècle, dix-neuf au xixe siècle, et vingt-deux au xxe siècle. La dernière traduction française qui ne soit pas une révision et qui comporte la totalité de la Bible est La Nouvelle Traduction de la Bible, éditée en 2001 par les Éditions Bayard et Médiaspaul.

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 18:41
par Invité
ctrl - c -> ctrl v n'est pas du flood

un flood doit être inspiré et original !

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 18:57
par Sid
inspiré et original

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 19:15
par Frizlol
Inspire par le nez expire par où tu peux

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 19:27
par Khosuke
Inspire par le nez expire par où tu peux
Par le cul !

Amis de la poésie, Bonsoir !

Re: Spécial anif' : Fast flood !

Publié : ven. 08 oct. 2010, 19:28
par Aléquia
Le manque d'originalité peut être original dans un post où tout le monde cherche à être original.
Mais en devenant original de cette façon, on perd l'originalité du post puisqu'il est à nouveau original !

Faîtes comme moi, réfléchissez pas.

Flood.
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Flood :pig: