The Royal I.d.P. Essploring Fundation

[Poupée de verre]



poupée de verre
qu’est ce que c’est que d’être seule ?
sur cette terre
bien plus que nos histoire te désolent

poupée de fer
tu restes froide pour faire face
pour ton ennemi tu restes de glace
dans cet enfer

poupée de terre
tu te crois libre quand tu regardes
le ciel et la liberté dansant dans l’air
mais à tes pieds les ronses attendent que tu baisses ta garde

poupée de mer
tes yeux déjà perdus dans tous ce bleu
tu t’engloutis et t’abandonne dans ton mystère
tu rêves d’un ami pour rendre ton pauvre cœur heureux

poupée de chair
ta place est elle parmi les vivants ?
eux qui viennent et t’aiment pour quelques heures seulement
dans ton esprit danse ton passé, il te chante le refrain de tes calvaires !


poupée pantin !
en voila une chanson, en voila un refrain
pantins poupées !
essuyez tous vos chagrins, c’est terminé

oui, c’est fini, oui !
vous êtes libres, petites stupides
vous irez au paradis !
enlevez vos chaines, enlevez ces brides

affrontez la liberté à présent!
regardez la, mes enfants
de vos souvenirs vous payerez le futur
ce vaste océan vous est offert,
il gronde de tempête d’une vie si dure
bienvenues en enfer.


poupée de cire
tu te réveille
après ce lourd sommeil
tu n’as plus de désir

poupée de chiffon
tellement abimée par l’émotion
que certains enfants t’ont déchirée
quand pour t’avoir, ils se sont disputés

poupée de porcelaine
toi qui as vécu dans l’amour
tu vois tes habits de laine
ne sont plus de leurs beaux jours

poupée de papier
toi tu portes tous les maux
les phrases, les lettres jetées
furieusement sur ton dos

poupée d’ivoire
lors que viens le soir
tes larmes te quittent
toi, tu pleures encore, tu hésite

poupée d’ébène
tu es la clé de ce poème
car après tant d’années
il n’y as que toi qui est restée


chantez chantez !
la danse est loin d’être à sa fin
souffrez pleurez
pauvres poupées, pauvres pantins !

et c’est ce chant, c’est ce refrain
qui chaque matins vous reviens
rien ne changeras, vous resterez là !
et si l’envie vous viens,
si vous voulez crier, vous le savez bien,
vous ne pourrez pas !



# Mardi 05 Février 2008

[Quitter mes racines, enfin toucher le ciel]


Quitter mes racines, enfin toucher le ciel
Je ne vois que des chaines, et j'y suis infidèle
Je veux m'envoler, ne plus regarder en bas
C'est en haut qu'est la vie, c'est la vie, que je vois

Quitter tout ceux qui, m'ont appris a marcher
Je ne vois que des larmes, et de la boue couler
La haut, il n'y a rien, le vide semble si calme
Que je veux m'y trouver, et verser une larme

Une larme qui tombera, au fin fond de vous même
Qui regarderez, pour la première fois mon ciel
Ce ciel de liberté, est ouvert à qui le souhaite
Du plus profond de son âme, loin de ce que l'on regrette

Le monde est si beau, quand on ne le vois plus
J'aimerais y aller, et vous ramener un aperçu
Mais peut être ais-je tord, n'est il qu'une illusion
Qui m'attirerais tel une Sirène, vers un autre frisson.

Mais je veux voir la haut, je veux voir dans cette mer
Entre nuages et vents, le reflet de notre terre
Pouvoir la contempler mais seulement de dos
Pour peut être y trouver, un monde comme il faut

Un monde sans violence, un monde sans principes
Un monde ou ceux qui vivent sont libres comme les autres
Je rêve tant de ce monde, ou l'on se trouve, et l'on se quitte
Sans verser une larme, sans chercher une faute.

J'espère que la haut, les anges me comprendront
Qu'ils verront au fond de moi, un soupçon de passion
Pour tous ceux que j'aime, et tous ceux que je déteste
J'aimerais qu'on vois, que je n'ai qu'une seule tendresse

Mais trop perdue pour la montrer, je préfère la garder
Pour la rependre une fois la haut, sur tout ce que j'ai vu
Et pour ce que je ne sais pas, aussi leur partager
La lumière de la lune, si blanche que le monde, ému

Lâchera enfin ses armes et ses conflits
Comprendra avec le temps qu'il n'y a rien
Nous ne sommes pas là pour détruire la vie
Mais pour construire, notre propre chemin.



# Mardi 02 mars 2010 09:53

Olalalala malheureux !
Mais que fais-tu ?
Ne te prend pas pour un demi-dieu !
Tu mérites d'être abattu !

Oui je rale !
Vilain garnement va !
Pose ces cure-dents en bois,
Cours dans ta chambre avant que je t'empale.

...

Grmblgrmbl c'est pas possible...
Mais ! Où a-t'il mis les truites ?
Raaah ! Il va s'en prendre une gratuite !
Là ça va bien ! Tu es vraiment pénible !

...

Mais 'pa ! Tu m'as dit que les poissons ça vit dans l'eau !
Alors moi quand tu me les a prêtés je les ais remis dans le lac
Parce-que le lac c'est plus grand et c'est loin du ruisseau...
Euh 'pa ! J'ai fais des trous avec les cure-dents sur le hamac...

...

Catastrophe !
Olalalala...Bon, va manger ton goûter.
J'ai de quoi être exaspérer,
Après il dit qu'il veut être philosophe.

Emmène-le donc à la pêche ! disait-ils,
Tu parles, c'est à mes risques et périls,
On peut vraiment rien faire de ce gamin
Il passe son temps à lire des bouquins.

J'l'enverrais à l'armée tiens,
Ça le changeras de ses habitudes,
Ils lui botteront l'train
On verra s'il fera des études.

...

'Pa ! C'quoi l'armée ?

...

Lit un de tes livres tu sauras...

...

J'en ai aucun sur le sujet.

...

Cherche sur google, c'est vraiment sympa.

...

J'viens de voir...c'est nul !
Ça sert à quoi de faire la guerre ?
J'irais jamais faire ça de toute manière,
J'préfère faire des calculs.

...

Olalalala...

Les amis solitaires

Bien des gens se sentent solitaires
D'origine ou de conséquences troublantes,
Que certains prennent l'air,
Ou que d'autre se cachent dans des habitations plaignantes.

Quel dommage que les gens ne se parlent pas plus.
Je leur raconterai ma vie, mes envies et écouterais les leurs,
Mais jamais ils n'écoutent quand nous sommes inconnus,
De cela je le déplore et le pleure.

Mais c'est pourtant ainsi que des amitiés se font !
Grâce aux esprits capable d'écoute,
Et si certains me contredise et en doute,
Je me tairais et maudirais ces cons.

Je suis las d'écouter ceux qui n'en vaillent pas la peine,
Qui sont alors nos vrais amis ?
Cela m’exténue ces pensées malsaines,
Mais fatigué des joyeuses fêtes aussi.

Qu'il est dingue de se contredire soi-même,
Mais que j'aime écrire ces pensées en poème,
Vers et rimes de mon esprit prétentieux,
Ô que cette fin jaillissent vindieu !

Ceci est un assemblage de mots,
Ceci est une phrase.
Ces réponses existentielles, c'est cadeau !
Euh en attendant, faut que j'me rase.

...

Hop, me voilà toubô !
Et ces vers aussi c'est cadeau !
Préparez-vous à tout savoir !
Wouhou c'est l'panard !

42 répond à Sifoisette,
On existe pour faire des galettes,
Les pyramides à l'envers ça fait Sedimaryp !
Leonardo DaVinci n'a pas peint Mona Lisa chez Cedric.

Les tartines tombent du mauvais côté pour vous embêter,
Le coin d'un cercle se trouve dans l'angle d'un carré,
Miles Davis était bon cuisinier,
Ou comment savoir faire des pâtes comme Maïté.

Euh ce poème est a ch*er.
Je trouve plus de rimes,
Désolé je suis fatigué,
Hum, je mange des mimes ?

Ah non ça l'fait pas.

Soyons français,
Maintenant, les temps,
Attention, vous êtes prêt ?
Je commence maintenant !

Que dire du passé simple
Si celui-ci est compliqué ?
Il n'est simple,
Mais facile à employer.

L'imparfait porte bien son nom,
D'où qu'un temps est parfait ?
On a beau étudier chaque trait,
Qu'on en noie le poisson.

Le plus-que-parfait,
Quel prétentieux !
Moi je vais à Calais,
Lui planter mon pieux.

Je suis sincèrement désolé,
Ces dernières rimes sont pathétiques
Et celles-ci sont inscrites,
J'en suis terriblement navré.

Je crois que je n'ai parler que du passé,
J'ai atteint le bas de ma page,
C'mon poème, j'irai quand même le poster
Dans un manoir d'un certain âge.