CHAPITRE 2: AZEROTH SUD
Prenant mes cliques à mon cou, je suis sorti en trombe de Hurlevent et suis parti en quête de richesses ailleurs.
J'ai commencé par explorer la forêt d'Elwynn.
J'ai commencé par me perdre dans une caverne... très bon début.
Ensuite j'ai mis les pieds dans un coin de pêche apparemment très prisé par les locaux. Mouais, ça n'allait pas me rendre riche.
Du coup je me suis dit que je pourrais aller faire un tour chez les moines. Ils doivent avoir des piécettes sonnantes et trébuchantes!
Ne trouvant rien de probant, je suis allé voir mes confrères pirates. Mais ils n'étaient pas très accueillants et tout ce que j'ai trouvé, c'est un tonneau géant et...
... Une lampe. Mouais. Alors j'ai continué vers le sud.
Les gobelins de Baie-du-Butin étaient connus pour leur richesse. Comme pour Hurlevent, j'ai scruté le lieu, et voyant de nombreux gardes...
Je me suis doucement rapproché, incognito. Mais le lieu était impénétrable. Il me faudrait aller ailleurs pour devenir riche!
Je suis remonté vers le nord, me suis perdu dans une colline. Encore.
Et n'étant visiblement pas le bienvenu dans l'arène Gurubashi, j'ai vite pris la poudre d'escampette!
Ayant entendu parler du temple perdu de Zul'Gurub, je me suis rendu compte qu'il était en effet bien perdu. Et les environs étaient...
... Périlleux.
Une brève excursion vers le gros portail qui brille pas très loin paraissait prometteuse, mais ça serait pour plus tard. Pour l'instant, je décidai de remonter vers le nord. Chez mes amis ivrognes les nains.
Vous savez ce qui ressemble à une montagne?
Une autre montagne.
Visiblement je ne suis pas le seul à m'être égaré par ici!
J'ai suivi la chaîne de montagnes vers l'ouest et ai trouvé ce qui semblait être un lieu important pour les semi-nains.
Y'a pas à dire, ils ont bon goût en décoration pour les sols.
Mais même eux semblent se perdre, alors à quoi bon? Je suis alors remonté vers la cité de Forgefer, décidant de braver les interdits.
En pénétrant dans le coeur de celle-ci, j'entendis du bruit derrière moi. Tel le voleur que je suis, je me mis à courir, VITE, sortant en trombe, vers le nord de la ville.