Terres Calcinées et Rêves Brisés.
Publié : jeu. 29 avr. 2010, 21:49
Le monde est noir.
Le monde est brisé par la folie de ses enfants, qui le font saigner, qui le font brûler, qui le brise et le torturent. Je suis rentrée dans ce monde souriante, pleine d'espoir et d'optimisme... mais ce n'était qu'une illusion. Les routes mènent nulle-part. Les chemins finissent dans les entrailles de la terre, là où le sang du monde jaillit, vif, vert et bouillant.
L'existence même est un parcours semé d'embuches. Nous communs des mortels, nous devons sans cesse esquiver les météorites que les puissances supérieurs lancent dans notre parcours, qui trouent le sol et le lézardent de fissures.
Parfois, on cherche refuge dans un sanctuaire au somment d'une colline noircie par le feu, un petit havre de paix parmi la souffrance des cieux... mais on se rend vite compte que c'est une illusion de sûreté. Au dessus, la mort plane, ses ailes de fer noir battant l'air lourd et menaçant avec une régularité effrayante. Rien ne le lui échappe. Pas même ceux qui ce cachent dans le temple.
Il y'a ceux qui cherchent à s'évader, à fuir ce monde où rien n'est certain sauf la mort, ceux qui se referment dans leur esprit et vivent en couleur. Mais un jour où l'autre, les maux de la planète les rattrapent, il réalisent à leur tour qu'ils n'ont rien. Encore moins que ceux qui vivent vraiment. Il leur reste une vieille toile d'araignée dans un sombre recoin. Et toujours, au tournant, cet objet noir, la mort, le mal, guette.
Il faut endurer. Chercher à faire face c'est courir à sa perte. Le monde n'attendra pas que tu sois attaché fermement. Il t'engouffre, te submerge, t'emporte avec lui dans les marées du Temps. Les grands hommes chercheront à nager à contre courant, mais eux aussi finissent par dériver. Alors fixe ton regard à l'horizon, serre les dents et laisse le t'enculer comme il le souhaite. Qui est tu pour te rebeller?
Ô monde. Que tu es si beau. Une perle nacrée de douleur qui flotte dans le ciel, parmi les étoiles. Ô monde... serre moi fort et ne me laisse jamais partir.
Madame Mort plane au dessus de moi.
Le monde est brisé par la folie de ses enfants, qui le font saigner, qui le font brûler, qui le brise et le torturent. Je suis rentrée dans ce monde souriante, pleine d'espoir et d'optimisme... mais ce n'était qu'une illusion. Les routes mènent nulle-part. Les chemins finissent dans les entrailles de la terre, là où le sang du monde jaillit, vif, vert et bouillant.
L'existence même est un parcours semé d'embuches. Nous communs des mortels, nous devons sans cesse esquiver les météorites que les puissances supérieurs lancent dans notre parcours, qui trouent le sol et le lézardent de fissures.
Parfois, on cherche refuge dans un sanctuaire au somment d'une colline noircie par le feu, un petit havre de paix parmi la souffrance des cieux... mais on se rend vite compte que c'est une illusion de sûreté. Au dessus, la mort plane, ses ailes de fer noir battant l'air lourd et menaçant avec une régularité effrayante. Rien ne le lui échappe. Pas même ceux qui ce cachent dans le temple.
Il y'a ceux qui cherchent à s'évader, à fuir ce monde où rien n'est certain sauf la mort, ceux qui se referment dans leur esprit et vivent en couleur. Mais un jour où l'autre, les maux de la planète les rattrapent, il réalisent à leur tour qu'ils n'ont rien. Encore moins que ceux qui vivent vraiment. Il leur reste une vieille toile d'araignée dans un sombre recoin. Et toujours, au tournant, cet objet noir, la mort, le mal, guette.
Il faut endurer. Chercher à faire face c'est courir à sa perte. Le monde n'attendra pas que tu sois attaché fermement. Il t'engouffre, te submerge, t'emporte avec lui dans les marées du Temps. Les grands hommes chercheront à nager à contre courant, mais eux aussi finissent par dériver. Alors fixe ton regard à l'horizon, serre les dents et laisse le t'enculer comme il le souhaite. Qui est tu pour te rebeller?
Ô monde. Que tu es si beau. Une perle nacrée de douleur qui flotte dans le ciel, parmi les étoiles. Ô monde... serre moi fort et ne me laisse jamais partir.
Madame Mort plane au dessus de moi.
